Qu’est-ce qu’une crise comme celle que nous sommes en train de traverser pourrait t’amener de positif ?
C’est vrai que ce n’est jamais évident d’apprendre à tirer du positif d’une situation qui paraît aussi tragique.
Et si cette crise t’amenait finalement à revoir le sens de tes priorités ?
Quel est l’emploi que tu fais de ton temps ?
Que tu sois millionnaire ou bien au RSA, tes journées feront toujours 24 heures.
Moi, je ne crois pas à la fatalité.
C’est une notion qui prive complètement l’individu de son libre arbitre.
Si je crois que tout est écrit alors je perds mon pouvoir de créateur.
Je ne suis plus qu’un pantin dont les fils sont agités par les événements et les circonstances extérieurs.
Je n’ai plus aucun contrôle sur la santé de mon corps physique. Je n’ai plus aucun contrôle sur la qualité de mes relations avec les autres.Je n’ai plus aucun contrôle sur l’état de mes finances.Je n’ai plus aucun contrôle sur mon développement personnel et spirituel.
Cette approche de la réalité est pourtant très chère à de nombreuses doctrines religieuses.
« Tout est écrit ! »
En fait, l’usage que tu fais de ton temps t’appartient.
Et si tu balances des paquets de chips, des glaces ou des frites surgelées dans ton caddie : ce n’est pas écrit à l’avance…
Essaye de les remplacer par des légumes et des aliments organiques pour voir ?
Est-ce qu’il y a une force surnaturelle qui t’empêche de le faire ?
Non.
Parce que c’est toujours toi qui es aux commandes.
Chaque jour, tu as le choix de toutes les actions que tu vas poser.
Et ces actions vont naturellement découler de ton sens personnel des priorités…
Qu’est-ce que tu valorises le plus ?
Actuellement, nous vivons une crise sanitaire sans précédent.
Ce n’est pas une guerre.
La crise du Coronavirus n’est pas une guerre
La situation est présentée ainsi mais ce n’est pas une guerre.
Toutes les nations font face à un virus qui se répand comme une traînée de poudre.
Mais ce virus agit surtout comme un révélateur.
Il met en lumière la manière dont le gouvernement français a géré son sens des priorités.
Je ne parle que très rarement de politique.Je ne m’estime pas compétent pour en parler en général.
Mais je suis quand même un citoyen.
Et à ce titre, je peux dresser des constats.
Quand j’entends la détresse de notre personnel médical qui se démène pour endiguer l’épidémie, le constat est sans appel :
La santé n’a pas été la priorité de notre gouvernement.
Les politiciens ont fait le choix de miser ailleurs.
Les restrictions budgétaires ont rendu les conditions de travail du corps médical de plus en plus complexes…
Et cela malgré les nombreux signaux d’alarme.
Et aujourd’hui ?
On en paye simplement le prix.
En fait, ce n’est pas simplement les aides-soignant(e)s, les infirmier(e)s, les médecins et toutes les professions impliquées dans le soin à autrui qui sont touchés…
C’est l’ensemble de la population qui est frappée de plein fouet.
L’épidémie vient éprouver le sens de nos priorités.
Qu’avons-nous valorisé le plus ?
Qu’est-ce qui a été le plus important ?
Quel est l’usage qui a été fait des ressources à disposition ?
C’est la même chose à l’échelle individuelle.
Tu n’as pas misé sur ta propre santé ?
Tu t’es alimenté sans penser aux conséquences ?
Tu as snobé le sport pendant des années ?
Puis un jour : la maladie !
Elle vient simplement mettre en lumière le sens de tes priorités.
Tu avais le choix.
Ne dis pas le contraire : tu as toujours le choix.
Nous pouvons pester contre notre gouvernement pour sa gestion inhumaine de son sens des priorités.
Mais, à titre individuel, as-tu le sentiment d’avoir une gestion consciencieuse de tes propres priorités ?
Qu’est-ce que les erreurs auxquelles on assiste peuvent nous apprendre sur nous-même ?
Est-on légitime pour critiquer un système quand, à titre personnel, nous ne sommes pas encore capables de définir intelligemment nos propres priorités ?
Mon article, il veut simplement t’aider à être plus honnête vis-à-vis de toi-même.
Ce confinement peut être vécu comme une plaie.
Il peut aussi être vécu comme une opportunité.
L’opportunité de faire de la croissance personnelle.
L’opportunité d’élargir le champ de ta propre conscience.
Si « tout est écrit » : pourquoi est-ce que tu lis en cet instant un article qui tend à te démontrer le contraire ?
As-tu réfléchi à tes priorités dernièrement ?
Qu’est-ce qui est le plus important pour toi ?
Dans quelle catégorie de ta vie, as-tu le sentiment qu’il est temps d’investir davantage ?
Où est-ce que de la croissance te semble nécessaire ?
Où est-ce que la vie réclame le plus ton attention ?
Pour avoir une idée de la réponse, tourne ton attention vers l’endroit où ça fait mal.
Là où ça pique actuellement.
Là où il y a très souvent de la douleur ou bien de l’inconfort.
Il y a peut-être un discours interne qui répète en boucle la même chose.
Est-ce que tu écoutes ce que ça raconte ?
Ou est-ce que tu t’en détournes dès que ça survient ?
Il n’y a que toi qui puisse trouver les réponses à ces questions.
Et tu es toujours libre de tenter d’y répondre ou non…
En ce moment, j’accompagne individuellement Myriam en coaching individuel. Et c’est une superbe collaboration !
Parce qu’elle déborde d’énergie.
Et parce qu’elle a une réelle envie de provoquer sa propre croissance.
Même si c’est inconfortable par moment.Même si ça soulève des émotions fortes de temps en temps.
Hier, elle m’a envoyé un message vocal dans lequel elle me disait : « Grâce à nos échanges, je sens que la magie est en train d’opérer ».
Pour un coach, c’est du pain béni que d’avoir ce genre de feedback.
Cela décuple encore plus ma motivation, mon niveau d’énergie et ma volonté de contribuer très fort dans la vie des autres.
Si tu sens que pour toi, c’est le moment de passer à la vitesse supérieure : tu peux m’écrire un message en privé.
Un e-mail, un message sur Facebook : c’est toi qui vois.
Par contre, je choisis scrupuleusement les personnes avec qui je décide de collaborer.
Sens toi libre de m’adresser ta candidature. Il faut juste que tu sois au courant qu’il m’arrive de refuser du monde.
Ce n’est pas du snobisme.
Je veux m’assurer au préalable que tu sois véritablement motivé(e). Je veux m’assurer au préalable que tu es vraiment prêt(e) à miser sur toi. Je veux m’assurer au préalable que tu as décidé de te définir comme ta principale priorité.
Si tu remplis ces critères, contacte-moi !
Ça serait dommage de ne pas utiliser de manière productive ce confinement, tu ne crois pas ?
Hâte de te lire.
À bientôt !
Comment le Coronavirus est en train de mettre en lumière le sens de nos priorités ?
Qu’est-ce qu’une crise comme celle que nous sommes en train de traverser pourrait t’amener de positif ?
C’est vrai que ce n’est jamais évident d’apprendre à tirer du positif d’une situation qui paraît aussi tragique.
Et si cette crise t’amenait finalement à revoir le sens de tes priorités ?
Quel est l’emploi que tu fais de ton temps ?
Que tu sois millionnaire ou bien au RSA, tes journées feront toujours 24 heures.
Moi, je ne crois pas à la fatalité.
C’est une notion qui prive complètement l’individu de son libre arbitre.
Si je crois que tout est écrit alors je perds mon pouvoir de créateur.
Je ne suis plus qu’un pantin dont les fils sont agités par les événements et les circonstances extérieurs.
Je n’ai plus aucun contrôle sur la santé de mon corps physique. Je n’ai plus aucun contrôle sur la qualité de mes relations avec les autres.Je n’ai plus aucun contrôle sur l’état de mes finances.Je n’ai plus aucun contrôle sur mon développement personnel et spirituel.
Cette approche de la réalité est pourtant très chère à de nombreuses doctrines religieuses.
« Tout est écrit ! »
En fait, l’usage que tu fais de ton temps t’appartient.
Et si tu balances des paquets de chips, des glaces ou des frites surgelées dans ton caddie : ce n’est pas écrit à l’avance…
Essaye de les remplacer par des légumes et des aliments organiques pour voir ?
Est-ce qu’il y a une force surnaturelle qui t’empêche de le faire ?
Non.
Parce que c’est toujours toi qui es aux commandes.
Chaque jour, tu as le choix de toutes les actions que tu vas poser.
Et ces actions vont naturellement découler de ton sens personnel des priorités…
Qu’est-ce que tu valorises le plus ?
Actuellement, nous vivons une crise sanitaire sans précédent.
Ce n’est pas une guerre.
La crise du Coronavirus n’est pas une guerre
La situation est présentée ainsi mais ce n’est pas une guerre.
Toutes les nations font face à un virus qui se répand comme une traînée de poudre.
Mais ce virus agit surtout comme un révélateur.
Il met en lumière la manière dont le gouvernement français a géré son sens des priorités.
Je ne parle que très rarement de politique.Je ne m’estime pas compétent pour en parler en général.
Mais je suis quand même un citoyen.
Et à ce titre, je peux dresser des constats.
Quand j’entends la détresse de notre personnel médical qui se démène pour endiguer l’épidémie, le constat est sans appel :
La santé n’a pas été la priorité de notre gouvernement.
Les politiciens ont fait le choix de miser ailleurs.
Les restrictions budgétaires ont rendu les conditions de travail du corps médical de plus en plus complexes…
Et cela malgré les nombreux signaux d’alarme.
Et aujourd’hui ?
On en paye simplement le prix.
En fait, ce n’est pas simplement les aides-soignant(e)s, les infirmier(e)s, les médecins et toutes les professions impliquées dans le soin à autrui qui sont touchés…
C’est l’ensemble de la population qui est frappée de plein fouet.
L’épidémie vient éprouver le sens de nos priorités.
Qu’avons-nous valorisé le plus ?
Qu’est-ce qui a été le plus important ?
Quel est l’usage qui a été fait des ressources à disposition ?
C’est la même chose à l’échelle individuelle.
Tu n’as pas misé sur ta propre santé ?
Tu t’es alimenté sans penser aux conséquences ?
Tu as snobé le sport pendant des années ?
Puis un jour : la maladie !
Elle vient simplement mettre en lumière le sens de tes priorités.
Tu avais le choix.
Ne dis pas le contraire : tu as toujours le choix.
Nous pouvons pester contre notre gouvernement pour sa gestion inhumaine de son sens des priorités.
Mais, à titre individuel, as-tu le sentiment d’avoir une gestion consciencieuse de tes propres priorités ?
Qu’est-ce que les erreurs auxquelles on assiste peuvent nous apprendre sur nous-même ?
Est-on légitime pour critiquer un système quand, à titre personnel, nous ne sommes pas encore capables de définir intelligemment nos propres priorités ?
Mon article, il veut simplement t’aider à être plus honnête vis-à-vis de toi-même.
Ce confinement peut être vécu comme une plaie.
Il peut aussi être vécu comme une opportunité.
L’opportunité de faire de la croissance personnelle.
L’opportunité d’élargir le champ de ta propre conscience.
Si « tout est écrit » : pourquoi est-ce que tu lis en cet instant un article qui tend à te démontrer le contraire ?
As-tu réfléchi à tes priorités dernièrement ?
Qu’est-ce qui est le plus important pour toi ?
Dans quelle catégorie de ta vie, as-tu le sentiment qu’il est temps d’investir davantage ?
Où est-ce que de la croissance te semble nécessaire ?
Où est-ce que la vie réclame le plus ton attention ?
Pour avoir une idée de la réponse, tourne ton attention vers l’endroit où ça fait mal.
Là où ça pique actuellement.
Là où il y a très souvent de la douleur ou bien de l’inconfort.
Il y a peut-être un discours interne qui répète en boucle la même chose.
Est-ce que tu écoutes ce que ça raconte ?
Ou est-ce que tu t’en détournes dès que ça survient ?
Il n’y a que toi qui puisse trouver les réponses à ces questions.
Et tu es toujours libre de tenter d’y répondre ou non…
En ce moment, j’accompagne individuellement Myriam en coaching individuel. Et c’est une superbe collaboration !
Parce qu’elle déborde d’énergie.
Et parce qu’elle a une réelle envie de provoquer sa propre croissance.
Même si c’est inconfortable par moment.Même si ça soulève des émotions fortes de temps en temps.
Hier, elle m’a envoyé un message vocal dans lequel elle me disait : « Grâce à nos échanges, je sens que la magie est en train d’opérer ».
Pour un coach, c’est du pain béni que d’avoir ce genre de feedback.
Cela décuple encore plus ma motivation, mon niveau d’énergie et ma volonté de contribuer très fort dans la vie des autres.
Si tu sens que pour toi, c’est le moment de passer à la vitesse supérieure : tu peux m’écrire un message en privé.
Un e-mail, un message sur Facebook : c’est toi qui vois.
Par contre, je choisis scrupuleusement les personnes avec qui je décide de collaborer.
Sens toi libre de m’adresser ta candidature. Il faut juste que tu sois au courant qu’il m’arrive de refuser du monde.
Ce n’est pas du snobisme.
Je veux m’assurer au préalable que tu sois véritablement motivé(e). Je veux m’assurer au préalable que tu es vraiment prêt(e) à miser sur toi. Je veux m’assurer au préalable que tu as décidé de te définir comme ta principale priorité.
Si tu remplis ces critères, contacte-moi !
Ça serait dommage de ne pas utiliser de manière productive ce confinement, tu ne crois pas ?
Hâte de te lire.
À bientôt !