Récemment, je lisais un nouvel article de Steve Pavlina. Et d’ailleurs, si tu as envie de t’offrir un très bon livre de développement personnel, je te recommande le sien à 400%. Clair, précis, complet, intelligent et efficace. Un must have quand on s’intéresse à l’amélioration personnelle.
Donc, disais-je, je lisais son nouvel article et il soulevait quelque chose d’extrêmement pertinent que j’ai envie de te partager à ma sauce. Nos croyances, nos pensées et nos expériences vont conditionner en grande partie nos résultats futurs. Ce n’est pas la première fois que j’évoque cette notion. Donc là-dessus, pas franchement de surprise. Tu as donc un système d’exploitation entièrement personnalisable à ta disposition. Il faut impérativement réaliser ça au plus vite. Tu es libre de choisir tes pensées et tes croyances.
Si les expériences que tu vis actuellement ne te conviennent plus : ce sont comme des alertes sur ton ordinateur. Ce sont des messages que tu es libre d’écouter ou non. Lorsque ton ordinateur t’alerte que ton anti-virus est périmé, t’as le choix. Soit, tu renouvelles ta licence, soit tu cours le risque de te choper une merde en naviguant sur des sites internet peu fréquentables.
Avec la vie, c’est un peu pareil. Si les expériences que tu vis ne t’apportent pas satisfaction, c’est un simple signal. Ça veut dire « une action est requise de votre part« . Si tu décides d’ignorer les alertes, c’est donc un choix délibéré. Ça te renvoie à la responsabilité entière et totale de ta vie et de ton expérience humaine.
Si les résultats que tu obtiens ne sont pas satisfaisants et que ça ne te convient pas, tu peux essayer de foutre toutes les émotions que ça génère en toi sous un mouchoir. Ou sous un tapis, si ça fait des années que tu as mis en place cette stratégie d’évitement.
Quand je parle de résultats, je parle par exemple de ta santé physique. Ton alimentation, ta pratique sportive et ton sommeil par exemple. Quand je parle de résultats, je parle aussi de tes finances personnelles. Combien gagnes-tu par mois ? Parviens-tu à te constituer une épargne ? Est-ce que tes revenus te permettent de vivre confortablement ? Quand je parle de résultats, je parle aussi de tes relations sociales. As-tu quelqu’un qui partage ta vie ? As-tu des relations amicales épanouissantes ? Des gens de confiance avec qui passer du temps ?
Rien n’est obligatoire. Rien n’est requis. Il n’y a pas de standard à atteindre pour être heureux. L’erreur, c’est de le croire. Il me semble que ce qui compte, c’est d’être à l’écoute des signaux envoyés par ta machine. L’alignement avec tes aspirations profondes devrait te procurer de la sérénité intérieure et de la joie.
Si tu obéis aux alertes envoyés par tes parents plutôt qu’aux tiennes, c’est aussi un choix. Et, il y a moyen d’emprunter des voies sans issues en fonctionnant comme ça. Tu pourras être l’avocat ou le médecin le plus réputé, si tu n’es pas aligné(e) avec tes aspirations profondes, tu traineras longtemps une sorte de manque. Un vide. Si tu as conscience d’avoir pris une voie sans issue et que tu t’entêtes, ça risque de générer des bugs dans ta machine. Des dysfonctionnements comme des maladies par exemple. Ou une forte tendance à gueuler pour un oui ou un non. Être malheureux, c’est généralement quelque chose que l’on porte sur soi.
L’un des virus qui peut également t’atteindre et t’affecter, c’est celui qui va te pousser à t’auto-critiquer. Oh alors ce virus là, c’est une pernicieuse petite saloperie. Et pourtant, il touche plein de monde.
Après une expérience jugée négative ou un échec, le virus s’active. Il vient t’en mettre plein la gueule. Ton mental passe en mode auto-destruction. Tu te sens nul(le), incapable de quoi que ce soit, démuni(e) ou minable. Sur le moment, t’as pas forcément l’impression d’être sous l’effet d’un virus. Tu crois que c’est normal. C’est là où il est super efficace ce virus. C’est qu’il peut passer sous la ligne de détection de ton radar intérieur. Tu peux ne jamais t’en rendre compte. Un peu comme un bon gros virus informatique, il peut s’installer en loucedé dans le recoin d’un petit fichier système. Invisible et discret, ça ne l’empêche pas d’avoir une énorme incidence sur ton expérience.
Parce que rater des trucs ou vivre des expériences nazes, c’est un peu le principe de la vie quoi. On ne réussit quasiment rien du premier coup. C’est rarissime. D’ailleurs, c’est un sujet que j’aborde avec insolence sur ma chaîne YouTube. Clique sur l’image pour voir la vidéo en question…
Je pense qu’il faut en prendre rapidement conscience. J’ai longtemps pensé que le bonheur, ça serait un état dans lequel plus rien ne se mettrait jamais en travers de ma route. Tout serait facile. Plus aucun problème, plus aucun contretemps. Que du kiff et de la joie. Pas de frustration, pas d’échecs et pas d’erreurs. Hahaha, la bonne blague. S’il y a bien quelque chose que la vie n’est pas : c’est bien ça. La vie, c’est un jeu vidéo qui s’adapte en permanence à ta progression. Les challenges sont omniprésents. Oui, il y a des périodes pendant lesquels t’es à même de souffler un peu. Mais ça dure jamais bien longtemps. Un peu comme des sas de décompression, la vie se remet à proposer ce qu’elle sait proposer de mieux : des leçons, des épreuves et des apprentissages.
Une fois que t’as accepté ça, tu ne joues plus au même jeu que tout le monde. Parce que t’as pigé que c’était un jeu. Que c’était normal si ça résistait en face.
Qu’est-ce qui semble animer l’Univers sinon l’évolution ? Les bouddhistes le disent : rien n’est permanent. Seul le changement est permanent. La vie est mouvement !
Et t’as probablement fini par t’en rendre compte, c’est toi qui en fait une expérience directe depuis le début. Alors si t’acceptes pas de danser avec la vie, tu vas te faire piétiner les pieds pendant longtemps.
Pour revenir au virus, il peut être désinstallé. Enfin moi, je le crois. J’ai mis au point des programmes en ligne dont c’est justement le but. On prend 21 jours pour t’installer de nouveaux outils pour transformer durablement ta vie et tes expériences.
Imagine comme ta vie risque d’être laborieuse si à chaque fois que tu es sur le ring, tu passes ton temps à t’expédier toi-même des crochets au menton. C’est un peu comme si t’étais un coureur cycliste et que tu balançais des clous vers l’avant. Ouais, pas besoin de sortir d’une grande école pour comprendre qu’au bout d’un moment tu risques de rouler dessus et de te crever les pneus.
Oui, j’avais la métaphore sportive aujourd’hui. Ne fais pas attention… Il n’en demeure pas moins que l’auto-sabotage, c’est une fichue plaie.
Des virus comme celui-là, il en existe plein pour différents critères de ta vie. Des trucs sournois qui tournent peut-être en loucedé dans un coin de ta machine. Apparus après un traumatisme. Une grosse épreuve. Une blessure. Bref, il y a plein de bonnes raisons pour que le virus pointe le bout de son nez. Et c’est intéressant je trouve d’y mettre de la conscience. Il y a des stratégies qui permettent de les identifier et de bosser dessus jusqu’à atténuer leurs effets voire de les supprimer entièrement… La vie ne devient pas de l’extase ambulante mais ça change tout quand même.
Et si tu te demandes comment avoir confiance en toi sans quitter ta paire de pantoufles, je me propose de t’offrir gratuitement mon Guide de la Confiance en Soi. Pour info, il est normalement proposé à 4,99€ sur Amazon alors fonce !