Faut être honnête, il suffit que j’entende le mot « secte » pour que l’ensemble de ma pilosité se foute automatiquement au garde à vous. C’est comme ça. Et ce qui est drôle, c’est que c’est le cas depuis tout petit. Leur simple évocation me fout en boule. Rien que d’imaginer des organisations qui puissent profiter de la vulnérabilité d’autres êtres humains, ça me rend malade. Moi, ce que j’aime : c’est la liberté. L’asservissement, l’avilissement et tous ces mots compliqués de plus de trois syllabes, c’est plus infect qu’un repas à la cantine d’un réfectoire de prison. Personnellement, j’ai vécu un éveil spirituel. Et je t’arrête tout de suite, l’éveil, ça ne veut pas dire que je vais vu Jésus m’apparaître en slip dans ma chambre à coucher. Non, loin de là. J’ai fait ce qu’on peut appeler une expérience de non-dualité. C’est sûr que le terme semble un peu technique si c’est la première fois qu’il croise ta route mais pour t’en faire une description la plus fidèle possible, j’ai vécu un peu par accident une prise de conscience. Une prise de conscience au cours de laquelle mon ego a totalement disparu. Je n’étais plus là au sens où on l’entend traditionnellement. Sauf que lorsque cette expérience s’est produite (ça n’a pas duré très longtemps), je me suis rendu compte qu’il y avait quelque chose en moi qui n’avait pas disparu. C’était ma conscience…
Si je te demande si tu es conscient ou consciente. Tu vas probablement prendre quelques secondes pour te poser la question. Puis, naturellement tu vas répondre par l’affirmative. Parce que oui, c’est bien le cas. Il y a bien quelque chose en toi qui est conscient pour que tu puisses lire cet article. L’expérience de l’éveil, c’est un moment où tu piges instantanément que ton identité véritable n’est pas ton ego. L’ego, c’est un peu le masque qui recouvre celui ou celle que tu es vraiment. Se prendre pour son ego, c’est une erreur courante. C’est une erreur qui est extrêmement répandue. Mais ça reste une erreur. C’est un peu comme si tu croisais Daniel Craig et que tu disais « Salut James Bond ! ». Sur le papier, t’aurais pas tout à fait tort. Daniel Craig, c’est un des acteurs qui a interprété le personnage de James Bond. Mais t’aurais quand même un peu tort pour la même raison : James Bond est un personnage. C’est pas l’identité réelle de la personne que t’as croisé. Toi, t’as croisé Daniel Craig. C’est un acteur. Il a joué d’autres rôles. D’autres personnages. Dans d’autres histoires…
L’ego, c’est un personnage. Plus précisément, c’est une galerie de personnages. Parce qu’en nous, il y a pas mal de monde qui cohabite. Il y a entre autres ton personnage triste, tu sais, celui qui aime se réfugier devant une série TV avec de la crème glacée quand ça va pas. C’est celui qui a plein de pensées déprimées. Physiquement, il a aussi une posture particulière. Les yeux larmoyants et le corps recroquevillé en boule, ça fait partie des signes qui permettent de le reconnaître. Il y a ton personnage lorsque tu es en colère. C’est celui qui crie très fort, qui serre les poings et qui a plein de pensées très violentes. Je ne vais pas m’amuser à décrire l’intégralité des personnalités qui cohabitent au sein de la psyché humaine mais tu as saisi l’idée générale. L’éveil, c’est finalement quelque chose de très simple mais qu’il est très facile de compliquer lorsque l’on tente de l’expliquer. L’éveil, c’est se rendre compte que notre identité véritable, ce n’est pas cet ego. Je ne suis pas uniquement le personnage que j’incarne. Celui qui se définit par un nom, un prénom, un sexe, un âge et une fonction au sein de la société. Ça, c’est un personnage. C’est quelque chose d’important, de nécessaire à notre expérience mais ce n’est pas notre identité. C’est uniquement un personnage. Et pendant que tes personnages apparaissent et disparaissent au gré des situations que tu vis, il y a quelque chose en toi qui demeure identique. Que tu sois triste ou en train de sauter de joie, que tu sois en colère ou en train de faire une présentation powerpoint à tes collègues de boulot, il y a toujours quelque chose en toi qui ne bouge pas. C’est quelque chose dont tu peux immédiatement faire l’expérience. Là, tout de suite. Il suffit simplement de te concentrer sur l’instant présent. De n’avoir aucune attente. De ne rien chercher de particulier. Il y a en toi quelque chose qui est là. C’est la conscience. C’est ce à quoi tu te relies pour pouvoir répondre à la question : « Es-tu conscient(e) ? » T’as pas besoin d’aller très loin pour trouver la réponse. C’est là. C’est déjà là. C’est tout le temps là. La conscience ne s’arrête pas. Elle ne s’arrête jamais. Si tu te relies très fort à cet instant présent, ça te sautera aux yeux. C’est une exploration dans le présent. Dans ton champ de vision, qu’observes-tu ? Un corps. Tu peux en distinguer le contour. Tu peux voir tes mains, tes doigts, tes jambes et même le bout de tes pieds si tu n’as pas trop forcé sur la bière cet été. Si tu continues de regarder autour de toi, tu verras des objets. Une chaise, un canapé, un écran d’ordinateur et peut-être même d’autres personnes. Est-ce que tu te prends pour ces objets ? Est-ce qu’ils sont toi ? Non, on est d’accord. Ce sont des objets que tu perçois. Toi, tu es le sujet. Et le reste, ce sont des objets de perception. Ton corps n’est donc pas toi. Il ne peut pas être TOI. Et c’est la même chose avec tes pensées. Toutes les pensées qui te traversent sont des pensées qui traversent. Ce sont là aussi des objets que tu perçois. C’est quelque chose que tu perçois intérieurement car cela ne produit pas de bruit extérieur mais cela n’enlève en rien le fait que tu perçoives. Tu entends tes pensées, n’est-ce pas ? Il y a bien quelque chose en toi qui les entend, qui en fait l’expérience. Qui peut attester qu’elles ont bien été perçues. Quand tu étais obsédé par tes cadeaux de noël quand tu étais petit(e), tes pensées tournaient en boucle sur le même sujet comme la plupart des enfants. Cadeaux, cadeaux, cadeaux. Tes pensées revenaient en boucle, de manière quasi obsessionnelle. Les pensées apparaissent et disparaissent. Alors si ton identité était d’être cette pensée, laquelle serais-tu ? La pensée qui t’a traversé l’esprit pour t’informer que tu avais très envie de faire pipi quand tu avais 4 ans ? C’est ça ton identité ? Cette pensée qui a fusé à ce moment précis ? Une pensée qui ne faisait finalement que de traduire une sensation physique s’étant produite dans ton corps ? Une identité, c’est quelque chose d’immuable. On peut pas être 50 000 trucs en même temps. Je ne peux pas m’identifier à mon corps, puis à mon nom et à mon prénom ou encore à mon cerveau. Tout comme je ne peux pas non plus m’identifier à ma pensée au gré de mes envies. Ce n’est pas possible. Une identité, c’est unique. Je ne peux pas m’identifier à quelque chose qui peut être amené à changer ou à se modifier. Ton corps, il a changé depuis que t’es enfant. Enfin, sauf si t’es Mimie Mathy. 😉
Ce qui est sujet au changement ne peut pas être ton identité véritable. C’est métaphysiquement impossible. Une identité, c’est immuable. Et pas parce que je l’ai décidé. Mais c’est de la logique pure. Daniel Craig ne peut pas devenir autre chose que Daniel Craig. A tes yeux, son identité c’est d’être Daniel Craig. Il ne peut pas être Pierce Brosnan et Sean Connery en même temps. Non, c’est impossible. C’est pareil pour toi. Il y a un dénominateur commun à tout ce que tu expérimentes. C’est quelque chose qu’il est plus facile d’expérimenter dans le silence. Tiens, tu viens d’avoir une pensée. Puis une autre. Qu’est-ce qu’il y avait entre ces pensées ? Si tu essayes de te souvenir. Il y avait du silence, n’est-ce pas. Entre chacune de tes pensées, il y a du vide. Ton mental ne produit rien. Puis là, d’un coup, à la vitesse de l’éclair : une pensée apparait. C’est rapide, c’est instantané. Elle est là. Imaginons qu’elle dise : « J’ai envie de pisser, il me casse les couilles avec son article. Je ne comprends rien ! »
Il y a un piège dans cette pensée que tu viens d’entendre. Il est énorme, il est redoutable. Je serai presque tenté de dire que c’est le plus gros piège de toute l’histoire de l’humanité. Pourquoi ? Parce que cette pensée vient de dire « J’ai envie« . Elle vient d’utiliser le pronom JE. Et JE, c’est en lien avec l’identité. Puisque par nature, il y a JE et il y a le reste du monde. La pensée dit « JE » comme si c’était toi. Comme si c’était QUI tu étais.
Mais prenons quelques secondes pour y réfléchir. Si la pensée qui vient de t’apparaître dans ton esprit, c’est toi. Alors qui c’est qui vient de l’entendre, hein ? Encore toi ? Donc tu es la pensée et tu es en même temps ce qui entend la pensée ? Alors, si tu es la pensée, pourquoi est-ce que tu n’es capable de supprimer tes pensées sur commande pendant plusieurs minutes ? Pourquoi ce n’est pas quelque chose qui est à ta portée ? Pourquoi est-ce que tu subis ton mental et tes pensées la plupart du temps ? Pourquoi tu ne peux pas d’un claquement de doigt interrompre un flot de pensées négatives ? Et surtout, pourquoi tu te parles aussi mal ? Pourquoi tu te dévalorises ? Pourquoi tu es si violent(e) avec toi-même ? Ne me dis pas que tu n’entends pas des pensées de reproches de temps en temps ? Ou des pensées qui te démotivent ou qui te font peur ?
En y réfléchissant bien, ne pourrait-on pas dire que la plupart du temps : tu subis tes pensées ? Comme le flot d’une cascade, ça coule en toi. Et si tu pratiques déjà la méditation, tu as pu te rendre compte que cela avait pour effet d’en diminuer l’intensité. Si tu pratiques la pensée positive, tu as peut-être même remarqué que tu pouvais les diriger ou même en changer la coloration. Au lieu d’avoir des pensées négatives à longueur de journée, il est tout à fait possible d’avoir une incidence là-dessus. C’est tout à fait jouable. Ça s’apprend en tous cas.
Comme un fil d’Ariane, il y a quelque chose de commun à tout ce que tu expérimentes depuis toujours : la Conscience. Le fait d’être conscient(e). C’est l’arrière plan que tu as sous les yeux en permanence. Que tu sois en train de jouer le personnage triste ou un autre que t’aurais en stock dans ta galerie, cette chose n’a pas bougé d’un iota. Identique, parfaitement identique. La conscience est là. A chaque instant, tu peux te relier à cette conscience. Quand tu es perdu(e) dans tes pensées ou dans tes projections mentales, elle est là. Quand tu perçois une douleur physique ou quand tu ressens du plaisir, elle est là. Que tu sois calme ou agité(e), cette chose là ne bouge pas. Elle n’est pas affectée. Pas le moins du monde. Elle reste impassible, immuable et identique. Tiens tiens tiens, ne serait-ce pas ce que l’on recherche avec cette quête d’identité ? Cet arrière plan là, il semble être le dénominateur parfait. Il est là en toute occasion. Il était là quand je réclamais mes cadeaux de noël, il était là lors de ma première expérience sexuelle, il était là quand je me prenais la tête avec mes parents, il était quand je révisais mes examens, il était là à mon premier entretien d’embauche, il était là quand j’ai fait du karting pour la première fois… Inlassablement présent. Et si à chacune de ces expériences je m’étais demandé : « Est-ce que je suis conscient(e) ? » Il aurait porté en lui une réponse incontestable. « Oui, je suis bel et bien conscient(e) » Pas de doutes possibles. Tu es l’Être qui porte en lui la certitude d’Être. Puis ensuite viennent les pensées, les sensations physiques et tout ce qui est perçu par ta conscience.
Ton ego n’est pas visible à l’oeil nu. Il n’y a personne dans la pièce dans laquelle tu te trouves. Si quelqu’un entrait et t’appelait pas ton prénom, c’est évident, il donnerait automatiquement du corps à ce personnage que tu joues. Tu te sentirais être ce personnage. Mais une fois seul(e) et connecté(e) à l’instant présent, où serait ce personnage ? Dans quelle pensée ? Caché dans quelle partie de ton corps ?
L’Éveil, c’est simplement se rendre compte qu’il n’y a personne. Absolument personne au sens strict. Il y a juste une sorte de fenêtre ouverte qui perçoit. Et cette fenêtre, elle perçoit plein de choses. Des bruits, des odeurs, des couleurs, des formes, des pensées et des sensations… C’est un peu comme si t’étais une caméra allumée. Une ouverture sur l’Univers. Une ouverture qui contiendrait l’Univers tout entier…
Qu’est-ce que je viens de faire depuis le début de cet article ? Est-ce que j’ai essayé de t’implanter des croyances à l’insu de ton plein gré ? Ai-je tenté d’abuser de ton intelligence ? Ai-je essayé de t’asservir, d’une manière ou d’une autre ? Ai-je tenté de jouer sur la corde sensible de ton état actuel pour te forcer à croire à ce que je racontais ?
Non, j’ai simplement essayé de te faire vivre une expérience. Un peu comme si je t’avais proposé de monter avec moi en voiture. En imaginant que je possédais une voiture dans laquelle tu ne serais jamais monté. C’est à ça qu’a servi mon monologue. Essayez de te faire prendre conscience de quelque chose depuis mon propre espace de conscience. Alors on va pouvoir embrayer sur la suite de mon article.
L’Éveil, est-ce que c’est une secte ?
Bha non. Voilà. Fin de l’histoire. L’éveil, c’est pas une secte, c’est une expérience. C’est un truc que tu vis, un truc que tu réalises. Et c’est pas quelque chose que tu peux réaliser « dans le futur« . C’est pas un truc qui t’enferme comme toutes ces conneries de sectes. C’est au contraire quelque chose qui te libère. J’insiste vraiment sur cette notion d’expérience de l’éveil. Parce que tu vois, j’écris sur ce blog depuis plus d’un an maintenant et si j’en parle dans quasiment chacun de mes articles, c’est parce que cette réalisation, elle a changé ma vie. J’ai envie d’écrire « prise de conscience« , « réalisation » plutôt qu’ « expérience » parce du coup, j’ai peur que ça puisse te faire imaginer quelque chose d’incroyable alors qu’au final, c’est quelque chose de très simple, de très naturel. La secte, c’est une organisation. Un regroupement, associatif ou non. Ce sont des gens qui se regroupent pour partager leurs croyances. Et notamment leurs croyances spirituelles. C’est pourquoi personnellement, je considère les religions comme des sectes. Ce sont des sectes populaires, ce sont des sectes légales mais ça n’en demeure pas moins des sectes.
Si tu es croyant(e), chrétien(ne), musulman(e) ou juif (ou juive pour citer les religions les plus célèbres) : est-ce que je peux me permettre de te demander si tu as déjà fait des expériences directes en lien avec ta foi ? Est-ce que tu as déjà eu des preuves concrètes de l’existence du Dieu que tu pries ? Est-ce que c’était du concret ? Si tu crois à la vie éternelle, est-ce que ta peur de la mort s’est vraiment évaporée ? Je veux dire, est-ce qu’il ne reste pas en toi une toute petite crainte que tout ce que raconte ton curé, ton immam ou ton rabbin, ça soit pas de la connerie ? Parce que l’espérance, c’est chouette. Mais la certitude, c’est mieux non ? J’entends par là, ne plus avoir de doutes du tout. Être certain. Par l’expérience. Pas juste par la croyance, tu vois ?
Parce qu’en ce qui me concerne, j’ai toujours favorisé l’expérience à la croyance. C’est bien beau de dire que quelque chose fonctionne d’une certaine manière. Mais le mieux, ça reste de l’expérimenter soi-même. J’ai toujours préféré faire et découvrir les choses par moi-même, quitte à me planter. C’est ça la véritable liberté.
Dans les organisations spirituelles, généralement, on te fait rien expérimenter du tout. On te demande de croire. Parce que c’est écrit dans un bouquin. Ou parce que le gourou qui le dit a un charisme incroyable. Alors tu te retrouves à prier ou à filer ton pognon. Et ça, c’est pas de la liberté. Loin de là…
Si un membre de ta famille débarque avec de nouvelles croyances et qu’elle t’en parle, il y a deux questions qui me semblent indispensables pour que tu puisses savoir si elle est sous le joug d’une organisation sectaire ou non.
La première, c’est de lui demander si elle a fait des expériences personnelles qui l’ont amenée à développer ces croyances dont elle parle. Et là, il est possible, que tu ne crois pas forcément à ce qu’elle va te raconter. Parce que ça dépasse peut-être tes croyances actuelles. Mais ce qui est d’une importance capitale, c’est de savoir si la personne qui te raconte son témoignage a vraiment vécu quelque chose à titre personnel. Si c’est du « on m’a dit que… », « il parait que… » ou encore « on m’a raconté que…« , là tu peux commencer à te poser des questions. Mais si la personne à qui tu as affaire te parle de ses sorties de corps, de sa médiumnité, de son expérience de mort imminente ou encore de coïncidences époustouflantes qu’elle a vécu, il va juste falloir que tu l’écoutes. Parce qu’elle te raconte une ou plusieurs expériences. Et il y a une différence majeure entre un témoignage et des croyances qui ne nous appartiennent pas…
La deuxième question, c’est de savoir s’il y a un engagement financier qui est impliqué. Personnellement, j’ai vécu mon éveil pour 6€80 en lisant le « pouvoir du moment présent« . Autant dire que niveau implication financière, j’étais plutôt tranquille. Oui, t’as bien lu. Je suis passé d’athée à croyant spirituel pour moins de 7€. Pas mal quand on y pense. Et si tu veux connaître mes expériences personnelles, ce blog en regorge…
S’il y a bien un truc que l’éveil n’est pas, c’est bien d’être une secte. C’est quelque chose que tu vis. Il y a des conférences sur le sujet, c’est vrai. J’en donnais d’ailleurs une récemment sur Montréal. Je partage mon témoignage. Je pense qu’il peut être utile à des personnes en quête de sens. Et je ne suis pas le seul à faire ça. Mooji, Isabelle Padovani, Steve Pavlina, Laurent E Lévy, Rupert Spira et j’en oublie très certainement un bon gros paquet. Ils essayent de te faire vivre des expériences. Ils essayent de te faire te poser des questions. Ils essayent de révéler des choses qui sont en toi. Un peu comme un archéologue peut révéler les os d’un T-Rex en frottant le sol avec un petit pinceau. Mettre à mal des croyances qui te limitent et qui t’enferment…
Il n’y a rien de mieux que la liberté. Fais tes expériences. Sois un bon sceptique. Sois ouvert(e) et plein de curiosité. Reste critique. Mais n’exclue pas la possibilité que les choses ne fonctionnent peut-être pas comme tu l’as toujours appris. Tu passerais à côté de découvertes incroyables que je te souhaite… Mais par pitié, fuis toutes les organisations spirituelles. Tu n’as pas besoin d’elles. Tu n’as pas besoin de ça. Même si tu es au fond du seau, tu as juste besoin de découvrir qui tu es vraiment. De découvrir le Soi qui sommeille en toi. C’est de ça dont tu as besoin, de mieux te connaître. En aucun cas d’aller fuir ton mal être ou ta solitude en rejoignant une communauté chelou… Prends, en attendant, bien soin de toi…
Et si tu te demandes comment avoir confiance en toi sans quitter ta paire de pantoufles, je me propose de t’offrir gratuitement mon Guide de la Confiance en Soi. Pour info, il est normalement proposé à 4,99€ sur Amazon alors fonce !