L’interrupteur est en toi…

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C‘était naïf de ma part, il faut bien le reconnaître. Lorsque je me suis éveillé, j’ai pensé qu’il suffirait de raconter ce que je vivais à mon entourage. Qu’il s’agisse des membres de ma famille ou de mes ami(e)s. Ils me connaissaient bien. Je pensais alors qu’il suffirait d’exposer, posément et avec des mots simples, ce que j’avais vécu. D’exposer dans des termes aussi clairs et compréhensibles le chemin qui avait été le mien. Je pensais alors que cela provoquerait un déclic. Oui, j’étais un athée. Un athée plutôt très athée. Et ce que j’avais vécu avait transformé pour toujours mes croyances. Qu’il s’agisse des coïncidences ou le fait que je me sois mis à développer des capacités extra-sensorielles. Qu’il s’agisse des nouvelles personnes qui entraient alors dans ma vie et qui confirmaient ce que je vivais. Je n’étais pas cinglé, je m’étais juste éveillé à la réalité de notre expérience ici, sur Terre…

J’ai passé deux mois en tant que vacancier au Canada. Ces deux mois ont accéléré le processus. J’ai débarqué à Halifax, dans une petite ferme en tant que bénévole. En contrepartie d’un peu de travail, je recevais trois repas journaliers et un lit où dormir. Je logeais chez Hande. Une turque qui vivait au Canada depuis de très nombreuses années. Lorsque j’ai commencé à aborder le sujet de la spiritualité avec elle, Hande a consolidé les croyances que je développais depuis des mois. Elle était capable d’entrer en contact avec son guide spirituel. Elle tirait les cartes. Sa maison était truffée de tigres, un symbole très fort pour moi à ce moment-là de mon chemin. Hande n’était pas sur ma route pour rien. J’étais au bon endroit, au bon moment.

On retrouve souvent des images avec des petites citations, elles décrivent le fait que lorsque l’on est aligné avec son véritable chemin de vie, sa véritable mission : les synchronicités pleuvent au quotidien. Je ne peux que le confirmer. Après quelques jours passés à Montréal, j’enfourchais un bixie. C’est l’équivalent des vélib’ parisiens. C’est un mode de transport terriblement pratique. J’avais déposé mon croupion sur la selle d’un vélo vert. Un employé présent à la borne me prenait alors à partie : « Tu sais, il reste 20 minutes avant la fin du jeu. Si tu vas à une station déposer ton vélo vert, tu gagneras un an d’abonnement ! Ca ne marche qu’avec les vélos verts ! »

J’étais sur un vélo vert. Il y en avait deux à la station où je me trouvais. « Combien y a t-il de vélos verts dans Montréal ? » demandait l’un de mes colocataires. « Une centaine… »

C’était un nouveau coup de pouce du monde de l’invisible. C’était quotidien. Sans arrêt. Une caisse qui s’ouvre au moment où j’arrive, un mec qui bosse dans une société de jeux vidéo avec qui je sympathise dans une épicerie. Alors même que quelques jours avant, j’avais « demandé » à l’Univers de me permettre de trouver un petit job dans le jeu vidéo. L’Univers m’arrose d’opportunités. Mais j’ai toujours le choix de les saisir ou non. Personne ne me force la main. Personne ne prend la décision à ma place… Mais je ne me suis jamais senti aussi aidé, aussi soutenu au quotidien. J’ai l’impression que les portes s’ouvrent. Tout ce qui m’est demandé maintenant que j’en ai pris conscience, c’est de continuer d’oeuvrer à éveiller à mon tour les consciences. Je dois trouver les leviers, les outils pour que les gens découvrent le cadeau caché de la vie. Je suis placé au bon endroit, au bon moment. Dans le train pour Paris alors que j’étais en train de me rendre sur Montréal, je m’aperçois que ma voisine est en train de bouquiner. Le livre, c’est « La vie après la vie« . Intérieurement, je souris. Soit, c’est une éveillée. Soit je suis là pour lui donner un petit coup de pouce. Alors que je suis au café du wagon-bar, je la vois qui se dirige vers moi. Je l’interpelle avec un sourire : « Alors, il est bien ce bouquin ? » Très sérieuse, elle me répond : « N’empêche, tout ce qu’on lit sur la vie après la mort. C’est dingue. De plus en plus d’études et de preuves scientifiques… » Je comprends que je suis donc là pour lui donner un petit coup de pouce. Quelques clés en lui racontant mon histoire. Elle accepte que je m’installe à ses côtés. Je raconte. Elle me dit : « Ma mère m’a toujours dit que c’était trop beau pour être vrai« . Insidieusement, sa maman a crée une croyance limitante dans l’esprit de sa fille. Elle m’explique qu’elle assiste à plein de conférences en matière de spiritualité. Elle est abonnée à une revue, c’est un sujet qui la captive mais elle n’a jamais rien vu. Elle n’arrive donc pas à y croire plus. Pourtant, c’est pas faute de lire des témoignages qui la déroutent complètement. Alors, j’ai frappé. J’ai raconté. Je n’étais pas là par hasard. Le hasard n’existe pas. Je le sais maintenant, j’en ai eu assez de preuves…

Dans l’avion entre Paris et Montréal, je suis assis à côté d’un jeune homme. Ce qui est amusant, c’est que l’avion est bondé mais qu’il reste une place vide entre lui et moi. Nous finissons par faire connaissance. Au bout de 5 minutes, nous nous regardons d’un air complice. C’est un éveillé aussi… Il me raconte ses propres expériences. La découverte de ses propres aptitudes extra-sensorielles. Ses propres signes et coïncidences… Incroyable, hein ? Et pourtant, t’es le seul frein à cette nouvelle réalité qui n’attend que toi…

Le château fort

Si tu lis tout ça, pétri(e) d’inquiétudes pour ma santé mentale, c’est évident que cela doit être compliqué. Tu m’observes, comme un individu extérieur à ta réalité actuelle. Et là où je vois une action d’un monde de l’invisible, tu vois simplement du hasard auquel je donne une dimension mystique.

C’est normal. Et si t’es arrivé(e) jusque là dans la lecture de cet article, c’est déjà très courageux de ta part. Je vais essayer de te délivrer une nouvelle clé. Allons-y joyeusement :

En fait, tu habites dans un château fort. Ce château fort, il est entouré par des murs massifs. Ces murs, immenses, larges et épais te protègent de toutes les attaques extérieures. C’est une protection solide qui garantit que la vie, à l’intérieur du château fort, peut se poursuivre. Sans danger. Sans remous. Sans remise en question…

Dans les murs de ce château, je me présente comme un bélier. Avec mes récits, mes articles et mon argumentation, j’essaye de cogner contre les murs de ton château. Mon but à moi, ce n’est pas de détruire ou d’abimer ton château fort. C’est tout bêtement de te permettre de voir au-delà des murs qui t’entourent. De créer des brèches dans les murs qui entourent ton château fort. Sans dire que tu es en prison, il y a une réalité plus grande, plus belle et plus intéressante que tu ne vois peut-être pas encore. Moi, je cogne contre tes murs. Je frappe. Sans relâche. Avec mes articles. Avec mes récits sur snapchat (sens toi libre de m’ajouter d’ailleurs : tony.servera) Et avec mon action lorsque je rencontre de nouvelles personnes…

Les gens qui me suivent, ils entendent ce que je raconte. Force est de constater que oui, j’ai beaucoup de chance. C’est en tous cas la conclusion qu’ils tirent lorsque je parle de toutes les coïncidences heureuses que je vis quasiment au quotidien. Mais ils ont beau entendre que j’y mets une dimension spirituelle, ça bloque. Ca bloque parce que même s’ils l’entendent, ce n’est pas ce qu’ils voient dans leurs propres réalités. Et tant que l’être humain ne voit pas, il ne croit pas… Logique. Logique certes, mais c’est parce qu’il ne croit pas qu’il ne voit pas. 🙂

Je peux frapper contre ton château fort en t’expliquant que même si tu es quelqu’un de sceptique, d’athée, de très rationnel et cartésien : tu tomberas probablement dans les jours qui suivront la lecture de cet article sur des heures jumelles. Si tu es sceptique, athée, rationnel et cartésien, tu soupireras en te disant : « Ce mec déraille, j’en vois de temps en temps. Et après ? »

Les heures jumelles, elles sont capables de passer les défenses de ton château fort. Aucun souci. T’as beau te dire que je n’écris qu’un tas d’inepties, que je suis cinglé ou tout ce que tu voudras, tu en verras. Au départ, elles arrivent en douceur. Une par jour. Peut-être deux. On ne les cherche pas mais on les voit quand même…

Avec mon bélier, je suis là pour t’expliquer que c’est une preuve de tout le discours que je te tiens à propos de la spiritualité. C’est une preuve. Toi, tu tombes sur 08h08 par exemple. Tu n’y vois pas du tout une preuve de quoi que ce soit. C’est tout petit. C’est mineur. C’était déjà arrivé avant, bref, tu concluras que c’est un hasard. Une coïncidence tout au plus…

Si tu en restes là, ton château fort tiendra ses positions. Les murs continueront de te priver de cette réalité magnifique à laquelle j’ai dorénavant accès. Si cela t’interpelle, il est possible que tu crées des petites brèches à l’intérieur des fortifications. Et les brèches, elles te permettront d’en voir un peu plus. Plus tu en verras. Plus tu croiras. C’est logique. C’est d’ailleurs pour ça que je ne peux plus revenir en arrière. Et que je rêve de t’aider à avancer sur ce merveilleux chemin… Je ne peux pas te forcer. Je n’en ai pas l’envie de toutes façons. Je ne suis qu’une main tendue. Une proposition. T’es toujours (et j’espère que tu le sens) libre de me faire disparaître de ta réalité pour toujours. Et c’est très correct, comme on dit ici au Québec ! 🙂

J’étais athée. J’étais cartésien. Je ne croyais que ce que je voyais. Mais justement, j’ai commencé à voir. Alors forcément j’ai commencé à croire. Observe ton environnement avec une nouvelle perspective. Essaye de te dire : « Tiens, et si je me trompais ? » Tant que tu resteras campé(e) sur tes positions, tant que tu voudras renforcer tes croyances actuelles, tu ne verras rien. Le château fort restera à l’abri des attaques extérieures. Tu vivras comme tu vis déjà. Ca serait dommage mais personne ne peut faire ce travail à ta place. T’es depuis toujours le seul (ou la seule) dans ta réalité, pas vrai ? Les autres, qu’il s’agisse du boulanger ou des piétons que tu croises, de ta propre mère ou de moi, nous sommes à l’extérieur de cette réalité. Mais c’est toujours toi qui est là. Le personnage principal. Depuis toujours…

Le château fort, c’est ton système de croyances actuel. Un système qui réfute probablement l’idée qu’une force supérieure soit à l’oeuvre, en toi et autour de toi…

L’interrupteur est en toi

Pour que tu vois tout ce que je te raconte, il va falloir que tu ailles appuyer sur cet interrupteur à l’intérieur de toi. Appuyer sur cet interrupteur, c’est un acte courageux. C’est quelque chose de difficile. Notre ego n’aime pas l’idée de se tromper. Appuyer sur l’interrupteur, c’est accepter l’idée potentielle que tu te sois planté(e) sur le monde qui t’entoure. Ton ego frissonne à la seule idée de s’être fait berner depuis toujours… Mais au final, qu’est-ce que tu sais vraiment ? Jusqu’à quel point es-tu sûr de tes certitudes finalement ?

Si tu es là, à lire cet article (je ne pense pas que ça soit un hasard et tu l’as bien compris maintenant, hein ! 😉 je t’encourage sur ce chemin vers ta propre vérité. Prends ton temps, avance à ton rythme…

Parfois, alors que tu n’as jamais entrepris ce chemin vers ta vérité, quelqu’un se pointe devant la porte de ton château fort. Sans armes. Sans bélier. Et alors que tu le pensais indestructible, tu vois chacune des pierres qui composaient les fortifications de ton château tomber en poussière sur le sol. C’est ce qui m’est arrivé. Et je n’aurai jamais assez d’amour pour remercier la personne qui s’est pointée un jour devant la porte de mon propre château fort…

Prends bien soin de toi en attendant !

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